Quand les élèves arrivent à tranférer (et quand ils n'y arrivent pas.)
Vous connaissez ce moment où un élève dit : « Attends… c’est comme ce qu’on a fait en sciences ! » — et tout à coup, il commence à faire des liens entre les matières, les idées, voire même avec la vie en dehors de l’école ?
C’est ça, le transfert — et c’est l’un des signes les plus clairs que l’apprentissage devient plus profond.
Mais voilà le truc : le transfert ne se produit pas tout seul. Il demande du temps. De l’espace. De la répétition. Et les bonnes conditions.
Je me suis penchée sur ce qui déclenche ces moments « aha ! » chez les élèves.
Est-ce que ce sont les questions que nous posons ?
Les exemples que nous apportons ?
Ou le type d’activités que nous concevons ?
J’aimerais savoir :
🍀 Quelle est la chose que vous avez mise en place et qui a aidé vos élèves à transférer leurs apprentissages d’un contexte à un autre ?
Ou bien, quelque chose qui n’a pas fonctionné mais qui vous a quand même appris quelque chose ?
Sans jugement, juste un échange sincère. Nous expérimentons tous et évoluons. Apprenons les uns des autres.